Et chaque fois que je frissonne
Qu’un souffle sur ma joue s’abandonne
J’en imagine
L’onirique origine
Et je pense à toi
À chaque fois
Que nos fils se sont mêlés
À ce temps qui file à jamais abdiqué
Qu’en sera-t-il de ce Nous
Danse futile d’un tandem
Qui n’ose se dire qu’il s’aime…